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Piste auto moto à Trémuson, coup de frein

Piste tremuson

Saint-Brieuc. Coup de frein pour la piste auto à l’aéroport

Les élus de l’agglomération de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) débattaient ce jeudi soir du financement d’une étude pour la piste auto-moto à l’aéroport de Trémuson. Après un long débat, ils ont finalement décidé… de ne pas voter.
Comment, dans la même soirée, approuver le plan climat pour le territoire, puis voter le financement d’une étude pour la construction d’une piste auto-moto. C’est le délicat équilibre qu’ont tenté de trouver les élus de l’agglomération de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) jeudi soir.

.Et plutôt que de donner un avis tranché sur le sujet, ils ont préféré… ne pas voter.

Le conseil d’agglo devait en effet se pencher sur une délibération, prévoyant une subvention de 50 000 € pour mener des études concernant la réalisation d’une « piste éducative routière » dans l’enceinte de l’aéroport de Trémuson.

Sur le site, une piste de 2 800 m est en effet envisagée, pour des stages de sécurité routière et de formation à la conduite, le développement de véhicules propulsés à l’hydrogène, mais aussi l’organisation d’événements avec des véhicules anciens ou des concessionnaires, ou encore « le développement de l’automobile loisir. »
Avant d’étudier la question, les élus ont écouté un représentant du collectif d’opposants au projet, qui étaient présents en nombre dans la partie réservée au public. « Vous venez de voter le plan climat, comment pouvez-vous dans la foulée valider un tel projet ? interroge le porte-parole. Avec cette piste, c’est la dégradation de notre air, des nuisances environnementales et sonores pour la population. »

Le représentant du collectif a également rappelé le projet alternatif que les opposants avaient déjà proposé : la création sur le site d’une centrale photovoltaïque.

Dans le long débat qui a suivi entre les élus, cette proposition a été appuyée par plusieurs conseillers. À commencer par Maurice Battas, maire de Pordic, commune directement concernée : « Les élus de Pordic ont déjà décidé à l’unanimité d’abandonner ce projet et de chercher des solutions alternatives. Je ne suis pas contre le développement de la zone aéroportuaire et l’économie, mais ce qui est prévu va à l’encontre de la réduction des gaz à effet de serre. »

« Étudions ce dossier d’alternative photovoltaïque, ça coule de source ! » abonde Louis Eouzan, conseiller à Pordic et vice-président à l’agglomération.

Outre les questions d’environnement, plusieurs élus se sont étonnés de la méthode : comment voter un projet en conseil d’agglo, alors qu’une des communes (Pordic) s’y oppose ? « Ce serait une première ! » s’étonne Thierry Simelière, maire de Saint-Quay-Portrieux.
Un grand flottement…

Après le débat, un véritable flou artistique s’est invité dans l’assemblée. Ronan Kerdraon, premier vice-président, suggérant de retirer la délibération et de ne finalement pas la voter. « Pour mettre en comparaison avec une étude photovoltaïque » , explique-t-il.

Un choix qui sera finalement retenu par la majorité. Mais qui n’a pas franchement plu à tout le monde. « Il faut prendre ses responsabilités et avoir du courage politique. On est sinon en plein immobilisme ! » s’agace Stéphane Briend, maire de Plédran. Même vision pour le groupe divers-gauche. « On voulait se positionner clairement pour ou contre la piste. On ne l’a pas fait », déplore Christine Métois, maire de Trégueux.

Il faudra en effet attendre… Une décision qui ne satisfait personne. Ni les partisans de la piste auto-moto, ni les opposants.

Ouest France 27 septembre 2019

 Trémuson. Opposés à la piste auto, ils pointent l’attitude de la CCI

Un groupe de riverains de l’aéroport de Trémuson (Côtes-d’Armor), qui ne veulent pas de la piste auto-moto, accusent la chambre de commerce et d’industrie de « désinformation ».
Des riverains de l’aéroport de Trémuson, opposés au projet de piste auto-moto porté par la CCI, pointent l’attitude de la chambre de commerce. « Elle a déjà rebaptisé son projet en « piste éducative routière », pour la maquiller en vert. Aujourd’hui, elle essaie de disqualifier notre contre-projet de centrale photovoltaïque. »

Les riverains, dans un communiqué, expliquent que la CCI « prétend que [leur] projet alternatif possède une surface exploitable insuffisante, et que la jonction au réseau représente un coût rédhibitoire ne permettant pas de garantir l’équilibre financier. »
Ces riverains défendent un projet de centrale photovoltaïque

Pour les riverains, la réalité est toute différente. « Un projet photovoltaïque combiné à un circuit ne peut pas être rentable. Par contre, un projet photovoltaïque occupant tous les délaissés disponibles (entre 17 ha et 23  ha) n’aura aucun mal à atteindre l’équilibre financier. »

Ils ajoutent : « Un projet de piste auto-moto appelle des subventions publiques, sans revenu en contrepartie. Tandis qu’un projet de centrale photovoltaïque ne nécessite aucun financement public. Et apporte, dès sa mise en exploitation, des revenus substantiels aux collectivités sans générer de nuisances. »

Les riverains attendent désormais un nouvel appel à projet qui permettra aux développeurs éconduits par la CCI de se manifester et de présenter leurs offres.

Ouest France 4 octobre 2019

Une quarantaine de personnes riverains de l aeroport de 4825291Saint-Brieuc Armor Agglomération. Sortie de route pour la piste éducative routière

Le projet de piste éducative routière, dans les cartons depuis dix ans, semble caler à nouveau. Ce jeudi, les élus de Saint-Brieuc Armor Agglomération ont décidé de retirer la délibération visant à financer à hauteur de 50 000 € les études préalables au projet. Sans pour autant voter contre le projet de circuit.

La décision des élus de Saint-Brieuc Armor Agglomération, ce jeudi 26 septembre, ressemble à s’y méprendre à un coup de frein au projet de piste éducative routière qui pourrait s’installer au sein de l’aéroport de Trémuson. Devant une cinquantaine d’opposants au projet, ils étaient invités à voter une dotation de 50 000 € pour la réalisation d’études préalables à la réalisation de ce projet. Mais, après un long débat, ils ont finalement décidé, sur proposition du premier vice-président Ronan Kerdraon, de retirer cette délibération.
Une quarantaine de personnes (riverains de l'aéroport de Tréumuson et militants écologistes) ont manifesté leur opposition au vote d'une délibération portant sur le projet de circuit automobile. (Le Télégramme / Dimitri Rouchon-Borie)

Une décision qui, pour autant, n’a pas ravi les opposants qui espéraient que l’Agglo se positionne officiellement contre le projet. Et qui a entraîné un moment de flottement chez les élus qui, pour certains, souhaitaient voter contre le projet et non pas pour le retrait de la délibération.
À lire sur le sujet
Piste routière. Un démarrage programmé pour 2022

En contradiction avec le plan climat énergie

De quoi y perdre ses petits. Pour autant, cette décision s’apparente à une première victoire pour les riverains de l’aéroport, opposés depuis de longs mois au projet de 2 800 m de piste et qui portent un projet alternatif de centrale photovoltaïque. Une proposition qui « a été entendue poliment par le syndicat mixte de l’aéroport », soulignait Pierre Nédellec, le porte-parole de ces opposants. « Mais sans que cette proposition ne soit prise au sérieux ».
À lire sur le sujet
Riverains de l’aéroport.
Une piste auto non, une centrale photovoltaïque oui

Maurice Battas, le maire de Pordic, dont le conseil avait fait part de son refus d’une piste sur le territoire communal, a soutenu les opposants, arguant que l’Agglo venait notamment de voter un Plan climat énergie jugé « ambitieux ».

20 % d’énergies renouvelables en 2030

« Nous ne pouvons pas soutenir la piste alors que nous venons de nous engager à réduire nos émissions de gaz à effet de serre », a lancé Maurice Battas. Quelques minutes plus tôt, l’ensemble des élus avait en effet approuvé les objectifs de 40 % de réduction d’émissions de gaz à effet de serre et une « production des énergies renouvelables locales représentant 20 % des consommations » d’ici 2030.

Si nous votions contre l’avis de Pordic, ce serait une première dans cette agglomération.

Difficile, sur cette base, d’envisager la mise en route d’un circuit de 2 800 mètres. Car si Stéphane Briend, le maire de Plédran, appelait à ne pas « faire preuve d’immobilisme », nombre de ses collègues faisaient plutôt entendre leurs doutes concernant le bien-fondé d’une piste routière. Du moins, sans prendre en compte la proposition de centrale photovoltaïque. « Les 50 000 € devraient plutôt être mis dans ce projet photovoltaïque », défendait notamment Didier Le Buhan.
Une quarantaine de personnes (riverains de l'aéroport de Tréumuson et militants écologistes) ont manifesté leur opposition au vote d'une délibération portant sur le projet de circuit automobile. (Le Télégramme / Dimitri Rouchon-Borie)

La méthode Diouron mise en cause

Si le retrait de la délibération, qui n’est pas synonyme d’arrêt du projet, s’apparente à une victoire pour les opposants, elle a aussi mis en avant une ambiance à couteaux tirés dans les rangs de l’Agglo. Alors que la proposition de retrait émanait de Ronan Kerdraon et non pas de la présidente Marie-Claire Diouron, d’autres élus se sont étonnés de la méthode employée sur ce dossier.

« Comment peut-on avoir ce débat alors que la commune de Pordic s’est officiellement positionnée contre le projet ? », s’étonnait Thibaut Guignard, le maire de Plœuc-L’Hermitage et 6e vice-président de l’Agglo. Avant lui, Thierry Simelière, le maire de Saint-Quay-Portrieux, avait placé le débat sur le plan éthique. « Si nous votions contre l’avis de Pordic, ce serait une première dans cette agglomération ».

Le Télégramme 26 septembre 2019

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